La mante

 

Vivre

 

 

 

 

 

Texte et mise en scène
Hugo Paviot

Avec
David Arribe
Paula Brunet Sancho
Delphine Serina

Création et régie lumière
Jean-Louis Martineau

Création et régie son
Christine "Zef" Moreau

Costumes
Adélaïde Gosselin

 

 

 

Pièce publiée aux éditions de l'Amandier

 

Production

Les Piqueurs de glingues
Coproduction
Scène nationale du Sud-Aquitain
Avec le soutien de :

Théâtre de l’Espoir-

Présence Pasteur / Avignon Off
Théâtre de la Chapelle Saint-Louis / Rouen
Maison des Métallos / Paris

Association Beaumarchais - SACD

ADAMI

SPEDIDAM
Fondation La Ferthé

Mécénat :

Un grand merci à

nos 90 KissBankers

 

Durée du spectacle : 1h30

 

Contact diffusion : Mitiki

 

 

Deuxième volet de "La Trilogie d'Alexandre"

Les pièces Les Culs de plomb, La Mante et Vivre peuvent être programmées ensemble ou indépendamment l'une de l'autre.

 

RÉSUMÉ

Alexandre est un artiste mondialement connu, qui ne peint qu’un seul modèle : sa muse Anna Paros. Soumis à des accès de rage incontrôlés, il en vient, lors d’une rétrospective de son œuvre, à déchirer en public son tableau le plus célèbre. Alexandre ne supporte plus le regard d’Anna, qui se confond dans ses cauchemars avec celui de sa mère. Il décide alors de partir à la recherche de cette mère qui l’a abandonné quand il avait 15 ans. Il la retrouve en Andalousie, aveugle, recluse dans le couvent d’un petit village de pêcheurs.

La confrontation entre le fils et sa mère est à l’image de celle de l’Espagne contemporaine avec son passé le plus sombre : la dictature nationale catholique franquiste n’a pas encore livré tous ses secrets.
 

NOTE D'INTENTION

Après Les Culs de plomb, je continue avec La Mante d'explorer le lien complexe qui unit violence intime et violence historique. La mère d'Alex est ce qu'on pourrait appeler un "monstre ordinaire". Victime de l'Histoire, elle règne à son tour sur son petit monde familial et sur son fils, avec "une main de fer dans un gant de velours". Cette dualité victime-bourreau en fait un personnage éminemment tragique et non manichéen. A l'image d'Alex lui-même dont la recherche picturale est une catharsis ambiguë : voulant se défaire de cette violence reçue en héritage, il règne en maître tout puissant sur son modèle Anna Paros. Pour moi, l'artiste est un anti-héros picaresque.
Hugo Paviot

 

 

2014-2015

Lundi 19 janvier
Maquette Maison des métallos

 

2015-2016

9 > 22 janvier
Résidence de création Théâtre de la Chapelle Saint-Louis / Rouen
25 janvier > 8 février
Résidence de création Scène nationale du Sud-Aquitain / Bayonne

9 > 10 février
Création Scène nationale du Sud-Aquitain

25 > 26 mai
Théâtre de la Chapelle Saint-Louis / Rouen

Juillet
Présence Pasteur / Avignon Off
 

2016-2017

En cours
Théâtre Jean-Vilar / Vitry-sur-Seine